Mes chroniques

Cliquez sur un genre pour parcourir les chroniques

Fantasy

Couverture de "Erdgen, un peuple inconnu"
Erdgen t.1: Un peuple inconnu, de Fabien Perez

Entre stéréotypes attendus et trouvailles étonnantes, ce premier tome des chroniques d’Erdgen reste tout de même une lecture divertissante et légère, plutôt agréable…

Couvertures de la saga Deux Zéros et demi
Deux zéros et demi, l’intégrale, de Guillaume Lecler

Cette saga ne se contente pas d’être drôle, elle arrive également à être bigrement (c’est dire) intelligente. Depuis Holbach à Rössler, Deux zéros et demi, l’Intégrale englobe tout un panel de concepts et mérite tout un tas d’épithètes que son résumé ne vous aidera pas à imaginer…

Le Gobelin dans l’Alcôve, de Luc DidierJean

Ceci, mes amis (je peux vous appeler mes amis?) est un livre que j’ai adorééé dévoréééhééé, souvent je le reliraaaaaais. Voilà, maintenant que je vous ai sans doute mis une chanson idiote* en tête, je vous présente l’histoire puis mon panégyrique de cette œuvre que j’ai adorééée dévorééeeee…

Les chroniques de Yelgor, de Jean-Michel Gernier

Ce premier tome m’évoque irrémédiablement l’étoile du matin, celle qui brille comme celle qui fait mal, une solide poignée de fantasy emmanchée dans un pommeau de steampunk, hérissé d’un vocabulaire pointu et d’un style étincelant et carnassier. Ça pique et on en redemande…

Les terres vertes, de David Bournas

Si vous aimez les destinations de rêve façon doigts d’pieds en éventail et pif dans le mojito, n’allez pas suspendre votre hamac dans Les Terres vertes. Des esclavagistes sadiques et des criminels patentés et pas tentants errent dans une nature hostile…

L’ombre de Kar’Ta t.1: Les vents du changement, de Sasha Ardyn

Elfes ? Présents. Humains ? Présents ? Gobelins ? P’sents ! Divinités multiples ? Présentes (ou paaas…). Prophétie ? Présente ? Mal absolu visant à l’éradication et à l’asservissement de toute vie sur terre ? Gnark. Seconde Classe Larret ? Présente, adjudant-chef, et parée à chroniquer…

Or et Nuit, de Mathieu Rivero

Qu’est-il advenu de Shéhérazade à la mille et deuxième nuit ? Une fois sauvée par son talent de conteuse de la cruauté de son sultan de mari, vit-elle heureuse au cœur de son palais, comblée par ses rôles de mère et de reine ? Ou bien sa passion pour les contes l’entraînera-t-elle vers un autre destin ? C’est la question qui débute cette suite à l’un des plus grands classiques de la littérature orientale…

La quête du Temps, de Lise Barrow

Je me suis promis à l’heure de débuter cette de chronique de ne pas faire montre d’esprit grivois et d’éviter les abîmes par trop tentants des mauvais jeux de mots, et si moi j’échoue en un instant, autant c’est une belle réussite littéraire que ce roman fantasy…

Les Guerres Célestes t.1 – La Chute des Volziens, d’Isabelle Maurel

« On a pas de magie mais on a des gros flingues » comme aurait dit mon adjudant-chef. Redécouvrez l’éternel affrontement entre technologies et sortilèges à la lecture de cette fresque fantasy épique teintée d’une réjouissante esthétique steampunk….

Ceux qui hantent la nuit, de Sarah Lutèce

Gare à vous, M’sieurs Dames, Ceux qui hantent la nuit arrivent. Viennent-ils pour piétiner le monde dans une sarabande effrénée, semer les germes macabres du chaos, réduire à néant toute vie et tout intellect, ne laissant derrière eux que le vide débordant sur la berge (ignominieux jeu de mots que mon adjudant-chef examine encore) ?…

La Main des Anciens, de Roman Lutèce

Le nom de cette saga pose d’ores et déjà moult interrogations. Pourquoi le Dieu sans Nom n’a pas de nom ? Si on l’appelle Le Dieu sans nom, est-ce qu’on ne pourrait pas dire que Le Dieu sans Nom est son nom, non ? Et du coup, dit-il toujours oui ? Autant de questions auxquelles cette chronique ne répond pas, mais en revanche vous propose d’autres découvertes bien plus captivantes. Attrapez La Main des Anciens, serrez bien fort, on est partis….

L’Artisan Meurtrier, de Matthieu Urban

En cette belle nuit de décembre, une énigmatique silhouette coiffée d’un splendide capuchon carmin éclatant émergea miraculeusement devant moi. Émerveillée, je tombais à genoux. Après tout, je n’ai pas été tous les jours très sage, mais j’en demande… Je réalisai ma méprise tout soudain, lorsque l’énigmatique silhouette, au lieu de me saluer d’un « Ho ho ho » grasseyant, laissa tomber sur mon crâne un lourd volume de cuir sombre où triomphait son propre portrait…

Les Secrets d’Isha, tome 1, de Jupiter Phaeton

À force de voir partout rayonner ce suprême nom de plume dont la sobriété n’a d’égale que la modestie, je me suis intéressée aux écrits de Jupiter Phaeton. Cherchant par quel ouvrage aborder son œuvre, je me suis rendue sur son site web où elle se présente comme « Autrice de plus de 40 romans en moins de trois ans. » Que voilà des chiffres ébouriffants…

La Fantasy en Folie – à la croisée des Blondes, dir. William Ward

En guise de préambule, je fredonnerais bien un petit « Quid agatur in taberna ? si quid loquar, audiatur.», qui, non content d’avoir une signification pertinente dans le contexte (mange-toi ça, canaillou*), plongera mon adjudant-chef dans des abysses de perplexité tout en rendant un hommage des plus sincères aux plumes gaillardes et virevoltantes des six auteurs de ce recueil de nouvelles fantasy. Faites péter la Gulden Draak et Carmina Burana, rendez-vous « À la croisée des blondes »…

PAI 2022 – Trahir et survivre, d’Olivia Gometz

« De grands hommes vous ont précédé, seconde classe Larret. De bien meilleurs que vous ! Croyez-vous vraiment pouvoir faire mieux avec le jus de navet qui vous tient lieu de cervelle, corniaud de bleusaille ? Non ? Bien ! Alors, dans le rang et en silence derrière la statue du Général. »
En me remémorant cette affectueuse tirade de mon adjudant-chef à la lecture du premier tome des Carmidor, j’ai supposé que son autrice avait dû faire ses classes sous un olibrius du même calibre. Et qu’elle l’avait écouté…

Fantastique

L’horreur tapie dans l’ombre, de Rudy Faure

Le titre m’a interpellée car il hurle son Lovecraft, presque autant qu’un ouvrage qui s’intitulerait « La terreur du cauchemar à la naissance de l’obscurité sous les ténèbres qui font peur», mais de façon bien plus efficace et subtile…

Et demain, l’éternité… , de Virginie Sarah Lou

Si je ne devais écrire qu’un seul mot à propos de Et demain, l’éternité, ce serait prometteur….

Couverture de "La Collision des Mondes"
La Collision des Mondes, de Sam Cornell

J’aurais tendance à dire que La collision des Mondes est au livre ce que la BB crème Chanel est au fond de teint Franprix, en étant bien consciente que ma métaphore ne sera certes pas limpide pour tout le monde….

La guerre, de Gaëlle Cathy

Envie d’un réchauffé de Twilight en version trash ? Faites taire votre midinette rêveuse intérieure (on en a tous une), branle-bas de combat, tout le monde sur le pont, moules à gaufres, c’est La Guerre !

Xenarax, t.1: Rêves ou souvenirs, de François Dati

Équipe dragons et magiciens ou équipe robots et technoguns? Tous les supporters trouveront leur compte à la lecture de Xenarax – t.1 – Rêves ou souvenirs, premier opus d’une trilogie fantastique fourmillant d’inventivité et de réjouissantes trouvailles…

La Rose des Carcasses, de Wilhelmina Wilder

Vous vous êtes certainement déjà demandé ce qu’il se passerait si Jules Barbey d’Aurevilly, Thomas Mann, Pierre Corneille, Matthew Gregory Lewis, David Fincher, Charles Baudelaire, Ann Radcliffe, Ézéchiel, Jacques Cazotte et William Shakespeare se retrouvaient en 1920 au bal de la mi-carême du Magic City (si, si, c’est une question qu’on se pose tous les jours). Bon, déjà, Kam Hugh en ferait certainement un vlog, mais Wilhelmina Wilder, elle, en a fait un livre. Et quel livre !

Science-Fiction / Dystopies

La déréliction de la chaussette trouée, de Geoffrey Marchand

Tiens donc, une histoire de gens enfermés, penchés au travail sur leurs écrans, n’osant pas sortir par peur de respirer, voilà qui devrait me changer les idées, me suis-je dit en sélectionnant ce livre parmi les titres d’Inceptio, une maison d’édition que je voulais découvrir…

Couverture de "Ci-gisent les restes de l'espèce humaine"
Ci-gisent les restes de l’humanité, d’Olivier Petiot

Encore une fois interpellée par le titre, que l’auteur réussit à qualifier subtilement dans le texte même « d’effrayant et irréel », j’ai dévoré Ci-gisent les restes de l’espèce humaine, dystopie à frémir sur l’extinction de notre petite espèce…

Couverture d'"Occurences"
Occurences, de Teresa Rey

Pour moi souvent, Science Fiction rime avec prise de tête. Avec des intrigues multiples, un rythme hyper soutenu, une double temporalité de la narration, de l’action dans tous les sens, pléthore de personnages et une ambiance militaire au vocabulaire incisif, on pourrait croire qu’Occurences a fait grimper mes actions chez Migralgine de quelques points…

Un arrière-goût d’éternité, de Luc DidierJean

L’éternité, pour moi, ça a toujours eu le goût de la terre battue et du sang pendant les séances disciplinaires de mon adjudant-chef. Mais quand la recette est signée par Luc DidierJean, c’est largement meilleur, ça fond, ça pique et ça pétille, et j’en redemande pour une fois…

Mirial, d’Alex Sol

Si vous pensiez qu’on allait partir pour la Bordure Extérieure, entre Listehol et Tiss’Sharl, pour y rencontrer des gens un peu verdâtres, c’est râpé. Mais restez quand même. Si.

Polar / Horreur

PAI 2022 – La dernière morsure, d’Apollonie Sbragia

À tous les sursaturés du vampirisme littéraire que le seul titre du roman aurait pu faire grincer des dents, rassurez-vous. On est ici très loin des canines étincelantes et des œillades ténébreuses, mais englués dans la grisaille sordide d’un hiver parisien auprès de trois enquêteurs de la Brigade Criminelle.
Plus qu’à éplucher les fèves et faire décanter le chianti…

PAI 2022 – Le Palais des Innocents, de Franck Schemer

Moi, en enfants, je m’y connais mal. Je sais que c’est court sur pattes, frétillant et tapageur, mais ça, ça marche aussi pour les gobelins ou certains acteurs de la scène politique contemporaine.
Aussi, quand Franck Schemer met l’enfant au centre d’un saisissant polar psychologique, je m’y plonge avec autant d’innocence que de curiosité…

Le recueil de la folie, de Sylvain Silvestro

Plutôt que d’emberlificoter mon aimable lectorat avec une introduction oiseuse, je laisse la première partie du résumé de l’œuvre parler pour elle. Non pas que je sois une feignasse irrécupérable (encore que), mais j’ai acheté ce recueil uniquement à la lecture de ces lignes…

Le Projet Zéro, tome 1, de Kévin D. Santos

Qu’est-ce qu’il y a dans ta tête, dans ta tête, zombie, zombie, zombie, hi, hi, hi ? Cette (honteuse) traduction personnelle du questionnement de Dolores O’Riordan trouvera quelques éléments de réponse dans l’ouvrage dystopique de Kévin D. Santos, qui propose à vos regards réjouis et sadiques d’innombrables craniectomies plutôt indélicates sur des sujets mort-vivants, entre démence latente et soubresauts d’espoir incurable…

Pour tuer, d’Amandine Lerat

Ah la montagne ! Les reliefs acérés qui déchiquettent l’horizon, le vin chaud, l’air pur à vous cisailler les poumons, le vin chaud, la blancheur aveuglante des panoramas infinis, le vin chaud, les ruptures du ligament croisé, le vin chaud, la puissance hiératique des éléments titanesques écrapoutissant l’insignifiance de l’homme, et le vin chaud ! Vin chaud mystérieux, vin chaud brûlant, vin chaud relevé et grisant ! Ô ardeur cinglante et périlleuse énigme du vin chaud, quand te reverraaaaaais-je ? En attendant le retour de l’hiver et des godets aux vapeurs enivrantes, tâchons de se consoler avec ce polar montagnard…

Sous le masque de l’Arlequin, d’Alex Saeba

« Nous portons tous un masque. Tout le monde, oui. Enfin, évidemment, c’est une métaphore, un symbole. » Si vous avez lu cette citation avec un fort accent slave/snob, vous êtes vieux cultivé. Mais qu’en est-il du masque de l’Arlequin ? Métaphore d’une existence torturée, symbole d’une vie entre parenthèses, ou simple morceau de carton sur le pif ?

Ici, sans toi, de Loïc Gry

En bonne Normande de naissance, j’ai toujours envisagé nos voisins Bretons d’un œil dubitatif et tendre au-dessus de mon camembert aux pommes flambées au calva. Ah, mystérieuse région de Bretagne, vibrante des chants de marins et des courses de Korrigans ! Tu n’auras pas le Mont-Saint-Michel, mais au moins, quel cadre exceptionnel, sauvage et mystérieux tu offres ! Alors, le polar Ici, sans toi, rend-t-il plus hommage à tes splendeurs indomptées ou à tes éclipses (le Mont-Saint-Michel est à nous, dé!) ?

Friller

Imbroglio, de Nil Borny

Vous aurez, je pense, de suite remarqué la pittoresque orthographe du genre littéraire. Aussi, avant que vous ne me tombiez sur le casaquin à l’instar de ma Maman outrée par un tel galoup (mon adjudant-chef, c’est curieux, n’y fut pas sensible), je me dégage (lâchement) de toute responsabilité. C’est bien cette façon d’écrire et de décrire le genre de son roman qu’a choisie son auteur en personne. Mais pourquoi ? Comment ? Que signifie ? Qu’est-ce à dire ? Mais encore ?

Romance

PAI 2022 – Les Perles de l’Énéark, d’A. D. Martel

Les perles de l’Énéark se présente comme le tome 1,5 de la saga Les larmes de Saël. Par conséquent, l’univers, ses origines, ses enjeux, ses mœurs et son organisation sociale n’y sont pas présentées une nouvelle fois, mais évoquées par petites touches, insuffisantes pour qui n’a pas lu le premier tome..

PAI 2022 – Enfer et Tentation, d’Alicia Egnam
Cette chronique sera tout à fait inoratioloquante*, et mon néologisme boiteux est déjà presque plus long qu’elle. J’assume. Croyez-moi, ça aurait pu être pire.

%d blogueurs aiment cette page :